d'abord un grand merci à mon routeur-blogmaster-intendant-facteur, Jean-Yves Denis ...
et , hum, je m'attendais à ce qu'il me taille un costume sur mesure, mais non même pas un bermuda, mais bien sur je ne perd rien pour attendre, je me méfie de l'animal !
donc , bilan de cette première étape : je m'attendais à un passage plus rapide, avec moins de calmes , moins de vent dans la gueule , surtout à la fin, avec une mer forte...
le père Franklin, le régulateur d'allures , a fait son boulot et je n'avais pas à barrer.
la mère Veille , alias merveille, le détecteur de radar, me prévenait du voisinage des bateaux équipés de radar en marche du moins... et il n'a sonné qu'une seule fois, pour un cargo qui croisait ma route .
Dame Syzygie a tenu le choc, donc surtout à la fin de l'étape, quand elle cognait brutalement dans les vagues...
peu d'incidents donc, hormis l'enrouleur du génois , qui a déroulé le génois entier , de nuit, par fraîche brise suite à la rupture du bout enrouleur, cisaillé comme souvent dans ces cas-là ... et là, les écoutes qui claquent ne pardonnent pas, méfie !
que dire des Bermudes ? ... impression assez carte postale, eaux bleu turquoise, beaucoup de touristes, américains en majorité, climat subtropical pas déplaisant, et surtout adieu les moustiques ...
et maintenant, eh eh !!!????
HÄTE DE VOUS RETROUVER TOUS !!! ... mais je ne suis pas sur que ce soit le chemin le plus rapide pour , d'autant plus que je souhaiterais musarder aux Açores ... alors, alors, je vais couper la poire en 2 et dans un premier temps poser ma compagne callipyge du côté de Chesapeake, seulement à 640 miles , puis faire un retour avion et retourner la chercher plus tard, fin août ... enfin on verra, je me connais, et vous aussi !
so, that'all for to-day !
watch this sunset : magique, surtout quand les dauphins viennent vous voir ...
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